jeudi 9 décembre 2010

Comment la France de Sarkozy par son plan du nouvel ordre mondiale fait la propagande à travers ses mediats mensongers?

La Vérité sur les Médias français

On reconnaît un Régime Totalitaire par le fait que les médias sont contrôlés par le pouvoir politique.
Les Médias en France, parlons-en :

1) Arnaud Lagardère, ami intime de Sarkozy, qualifié de « mon frère » par ce dernier, possède les éditions Hachette, Fayard, Grasset, Hatier, Hazan, Le Masque, Marabout, Pluriel, Stock, Le Livre de Poche, Larousse, Armand Colin, Dalloz et Dunod ; les magasins Relay, et Virgin ; les titres de presse Paris-Match, Elle magazine, le Journal du Dimanche, La Provence, Nice-Matin ; les stations radio Europe1, Europe 2, RFM ; les chaînes de télévision Canal J, MCM, Mezzo, Tiji, Match TV, la chaîne météo, CanalSatellite, Planète, Planète Future, Planète Thalassa, Canal Jimmy, Season, CinéCinéma, AlloCinéInfo et EuroChannel ; entre autres.
Groupe de l’industrie aéronautique, gros client de marchés publics. Chiffre d’affaires en 2008 : 8,2 milliards d’€.

2) Martin Bouygues (lui aussi est l’ami intime de Sarkozy , parrain d’un de ses fils) et sa famille possèdent les chaînes de télévision TF1, LCI, Odyssée, Eurosport, Histoire, UshuaïaTV, S Star, Cinétoile, Cinéstar, Télétoon, Infosport, Série Club, TF6, TV Breizh ; les sociétés de production de films : Téléma, Film Par Film, TF1 Film Production, les sociétés de distribution de films : TFM, la société d’édition vidéo : TF1 Vidéo, les magazines Tfou Mag, Star Academy, et pour la presse écrite quotidienne gratuite : Métro.
Groupe de bâtiment et travaux publics, gros client de marchés publics. Chiffre d’affaires en 2008 : 32,7 milliards d’€.

3) Serge Dassault, proche de Sarkozy, et sa famille possèdent Le Figaro, L’Express, le Figaro Magazine et Valeurs Actuelles.
Sénateur, avionneur et marchand d’armes, gros client de marchés publics. Chiffre d’affaires groupe en 2007 : 21 milliards d’€.

(La loi sur l’audiovisuel public de février 2009 prévoit que les présidents de l’audiovisuel public (France Télévisions et Radio France) sont désormais nommés par décret présidentiel pour cinq ans et non plus par le CSA, qui donne un simple avis. Les commissions de l’Assemblée nationale et du Sénat disposent, elles, d’un droit de veto, toutefois assez virtuel. En effet, le Parlement ne peut rejeter une nomination voulue par le chef de l’Etat que si une majorité des 3/5e des députés et sénateurs des deux commissions se dégage.)

Avec ces 3 personnes nous avons listé notamment le 1er éditeur de France, le 2ème libraire de France, le 1er quotidien de France, la 1ère chaîne de télévision de France si ce n’est d’Europe. Dans ce pays, la plus grande partie des médias est donc détenue par cinq empires financiers : Bouygues, Dassault, Lagardère, Bertelsmann (groupe RTL, M6), Vivendi-Universal (canal+, SFR) :





Ajoutons encore Bernard Arnault l’homme le plus riche de France, qui fut témoin de mariage de Sarkozy et qui possède Les échos. Vincent Bolloré, proche de Sarkozy au point de lui prêter son yacht pour les vacances, possède la chaîne de télévision Direct8, les journaux gratuits Direct Soir et Matin Plus, en plus du groupe publicitaire Havas contenant RSCG de Jacques Séguéla.

J’arrête là, je ne parle pas des instituts de sondages… etc.



Conclusion : La France est devenu un Régime Totalitaire avec Sarkozy comme Dictateur !


Selon le Daily Telegraph, Laurence Ferrari avait eu une liaison avec Nicolas Sarkozy lorsque son mariage avec Cécilia battait de l’aile, les magazines français Closer et Metro, qui s’étaient fait l’écho de cette aventure ont été condamnés à la demande de Mme Ferrari pour « atteinte à la vie privée »…
Bref Sarkozy a fait remercier Patrick Poivre d’Arvor pour y mettre une de ses conquêtes !


Ahmadinejad a dit en persan : « Imam ghoft een rezhim-e ishghalgar-e qods bayad az safheh-ye ruzgar mahv shavad. »

Traduction en Français : « L’Imam disait que ce régime qui occupe Jérusalem doit disparaître de la page du temps. »

Traduction mot par mot : Imam (Khomeini) ghoft (disait) een (ce) rezhim-e (régime) ishghalgar-e (occupant = qui occupe) qods (Jérusalem) bayad (doit) az safheh-ye ruzgar (de la page du temps) mahv shavad (disparaître de).

Hitler a dit : « si nous voulons remporter une victoire, nous devons activement nous servir du mensonge. Ils doivent être grands. Plus le mensonge est grand plus rapidement les gens le croiront. Quand nous remportons une victoire, personne ne nous demandera si nous avons dit la vérité ou si nous avons menti.»

La Vérité sur TF1

La Collaboration de TF1 révélée


TF1, l’historique chaine nationale est devenue une péripatéticienne à la solde des Politiciens et des Multinationales : Prouvé par ce Silence qui est en réalité une Collaboration.






Quand CNN fait le travail de TF1 !

La chaîne d’information américaine CNN a diffusé les images amateurs de l’évacuation musclée de 150 personnes qui s’étaient installées avec femmes et enfants au pied d’un immeuble de la Courneuve en Seine-Saint-Denis. Une évacuation opérée par la police mercredi 21 juillet. Le journaliste, Max Foster, prévient que “les images peuvent être choquantes”. Cette vidéo tournée par un militant de l’association “Droit au logement” montre la dureté de l’intervention, et a fait beaucoup réagir, notamment sur la Toile et les différents réseaux sociaux. On peut y voir militants et squatteurs, couchés ou assis par terre, résistants à l’opération, agrippés les uns aux autres. Une femme enceinte est évacuée de manière musclée. L’image la plus violente montre une femme, portant un bébé dans son dos, traînée par terre par les policiers !





La vidéo d’origine :

Regardez bien la vidéo, on y voit une femme avec son bébé qui sont trainés sur 1 mètre (à 02:20)… C’est Horrible et dur à voir…

En bas de la tour Balzac à la Courneuve, dont ils ont été expulsés, des familles, des femmes et des enfants sans logement sont évacués par des CRS, ces derniers avaient auparavant veillé à évacuer l'unique journaliste sur place, une photographe de L'Humanité.

Sarkozy a apparemment oublié ses promesses qu’il avait faîte au peuple lors de sa campagne électorale par contre il les a tenu à ses amis intimes… :





Quand RTBF (chaîne belge) fait le travail de TF1 !


L’industrie pharmaceutique s’attendait, vers la fin des années 1990, à une période de vaches maigres, liée d’une part à l’épuisement des grands brevets, d’autre part à son incapacité d’innover. Les spécialistes du médicament savaient qu’elle allait se rabattre sur les vaccins pour tenter de maintenir sa rentabilité…
Le projet « Grippe H1N1 » est Juste le Revers du sponsoring des industries pharmaceutiques : des partis politiques et des campagnes électorales :









Quand TSR (Television Suisse Romande) fait le travail de TF1 !


Voici un reportage diffusé et réalisé par la TSR (Télévision Suisse Romande), documentaire TV sur Sarkozy que vous ne verrez jamais sur une télé française, intitulé « Sarkozy, vampire des médias ».







Quand le Net fait le travail de TF1 !


Lomé, la capitale du Togo, une altercation tendue oppose un officier français et un reporter togolais. Le ton et les menaces évoquent un autre temps supposé révolu. Le colonel français en uniforme, qui se décrit comme conseiller du chef d'état-major de l'armée de terre togolaise. Il lance sur un ton agressif :
« Tu sais qui je suis ? Je suis le conseiller du chef d'état-major de l'armée de terre. Tu veux que j'appelle le RCGP (Régiment des commandos de la garde présidentielle) pour foutre un peu d'ordre là-dedans ? (...) »
Sur le site du quotidien togolais d'opposition Liberté, auquel collabore Didier Ledoux, un journaliste relate l'incident, et pose une question :
« C'est curieux qu'un officier français formé en France, pays des droits de l'homme, menace de faire venir des éléments de la garde présidentielle pour régler un malentendu qui l'opposait à un journaliste qui ne faisait que son travail. »

…Y en a marre des Médias-Mensonges-Manipulateurs-Collabos…



… Il faut transmettre le Savoir et la Vérité…
… La Vérité finit toujours par se Savoir…

Le nouvel Ordre Mondial que veulent installer la France, l'ONU, lesUSA et autre communauté internationnale en Côte d'Ivoire

Contexte général de la crise politique et militaire en Côte-d’Ivoire

Le 24 Décembre 1999, la Côte-d’Ivoire, pays de paix et prospère en Afrique de l’Ouest, connait un coup d’Etat qui entraine la chute du régime du président Henri Konan BEDIE. Ce coup d’Etat a vu l’installation d’un régime militaire dirigé par le général Guei Robert et certains partisans d’Alassane Ouattara. La Junte militaire organise un référendum constitutionnel qui est plébiscité à plus de 80%.

Le 26 octobre 2000, Laurent Gbagbo est élu président de la république de Côte d’Ivoire. Il permet ainsi par une lutte déterminée à mettre un terme au régime militaire en place dont le chef Robert Guei était aussi candidat à l’élection de 2002. Soucieux de préserver la cohésion sociale et l’unité nationale, Laurent Gbagbo organise un forum de réconciliation nationale réunissant toutes les forces vives du pays pour sortir de l’impasse politique.

Le 19 Septembre 2002, la Côte d’ivoire subit une tentative de Coup d’Etat qui échoue. Les putschistes repoussés se transforment en une rébellion armée et occupe la moitié de la Côte d’Ivoire. Le Nord du pays est sous contrôle des rebelles depuis 2002 avec des chefs dont la majeure partie est proche de Ouattara Alassane qui depuis 1993 souhaite être président. Il s’agit du chef de file de la rébellion le Sergent Ibrahim Coulibaly, Soro Guillaume ainsi que plusieurs anciens gardes de corps et aide de camp de M. Alassane OUATTARA.

Pour sortir de la crise politique et militaire plusieurs négociations de paix ont eu lieu sous l’égide de la France, de la CEDEAO, de l’Union Africaine, de l’ONU avec une forte implication de l’ex-puissance coloniale française:[Lomé(2002)], [Linas Marcoussis en France(2003)],[Accra(2004)],[Pretoria(2005].

En Mars 2007, la crise aboutit aux accords politiques de Ouagadougou, qui sont un compromis entre les acteurs essentiels nationaux de la crise. Ces accords ont permis la formation d’un gouvernement d’union où le Premier Ministre nommé est M. Guillaume SORO, le chef de la rébellion. Une Commission Electorale Indépendante(CEI), composée de 31 commissaires issus des grandes forces politiques et de la rébellion armée. 80% des membres de cette commission sont de l’opposition politique et de l’armée rebelle. En outre, l’accord prévoyait le désarmement des mouvements rebelles et des groupes d’auto-défense avant la tenue des élections comme le stipule la résolution 1633 des Nations Unies. La CEI était donc chargée d’organiser les élections, d’en publier les résultats provisoires qui vont être transmis au Conseil Constitutionnel pour jugement, validation et proclamation définitive. Les Nations-Unies, au terme de ce processus apporteront leur certification.


La crise postélectorale

Le 29 octobre 2010, le 1er tour de l’élection présidentielle est organisé sans désarmement des rebelles dans le nord du pays où le candidat du PDCI, Konan BEDIE avait dénoncé des cas de fraudes après son élimination. Les résultats de ce 1er tour donnaient 38% au président Laurent GBAGBO, 32% à Alassane OUATTARA et 25% à Konan BEDIE.
Le 28 novembre 2010, le 2ème tour de l’élection présidentielle est organisé. Des irrégularités pouvant entamées le caractère démocratique ont entraîné l’invalidation des résultats de certaines régions de vote sur une décision consensuelle de la CEI. Ainsi, les résultats du vote de la France, pour des cas de trouble, ont été annulés.

Dans le Nord, des irrégularités flagrantes qui entachent la sincérité du vote ont été constatées et dénoncées par plusieurs observateurs de l’Union Africaine et de certaines ONG africaines expertes en élection. Des urnes ont été bourrées, fraudes sur les PV, des hommes en arme assurément proche de la rébellion ont intimidé, séquestré, agressé verbalement et physiquement jusqu’à donner la mort aux militants et sympathisants du président Laurent GBAGBO.

La Majorité Présidentielle(LMP), le parti qui soutient la candidature du président Laurent GBAGBO, a déposé une requête en annulation des résultats dans les régions du nord où le vote n’a pas été démocratique auprès de la CEI et du conseil Constitutionnel.

Lors des opérations de centralisation, de consolidation et validation des résultats venant des différentes régions du pays, la Commission Electorale Indépendante(CEI) qui délibère sur une base consensuelle, s’est retrouvée bloquée faute d’avoir obtenu le consensus sur les cas de fraudes avérées dans le nord du pays sous contrôle rebelle. N’ayant pas trouvé de consensus sur ces cas de fraude, la CEI avait dépassé le délai légal impératif de proclamation des résultats provisoires qui lui était imparti. Elle a donc transmis le dossier au Conseil Constitutionnel pour trancher conformément aux dispositions de la CEI et de la constitution ivoirienne.

Le Conseil Constitutionnel qui a l’autorité de la chose jugée,  après avoir analysé les plaintes fondées relatives à l’irrégularité du scrutin dans les régions du nord (Korhogo, Bouaké et Séguéla) aux motifs de fraudes, de bourrages d’urnes, d’intimidations, de séquestrations, d’agressions verbales et physique mortelle, a invalidé les résultats desdites localités. Proclamant les résultats définitifs, le Conseil Constitutionnel  a déclaré le président GBAGBO vainqueur de l’élection présidentielle avec 51,45% des suffrages exprimés contre 48,55% pour  M. Alassane OUATTARA.

A la surprise générale,  M. Youssouf BAKAYOKO sans doute sous la contrainte et la séquestration, a donné hors délai, en l’absence de l’ensemble des commissaires, en dehors du siège de la CEI dans un hôtel de la place (Golf Hôtel) et en présence d’un petit groupe de médias eux même surpris, les résultats litigieux transmis la veille, au Conseil Constitutionnel. Sur la base de ces résultats qui n’ont pas été consolidés par l’ensemble des membres de la CEI, le président de la CEI a proclamé M. Alassane OUATTARA vainqueur, avec 54,10% des suffrages exprimés contre 45,9% pour le président sortant, Laurent GBAGBO.

M. Youn-jin Choi, représentant des Nations unies à la grande surprise générale déclare que c’est à lui de proclamer et certifier les résultats de l’élection présidentielle sur la chaine de radio ONUCI. Il donne ainsi Monsieur Ouattara vainqueur sur la base des résultats provisoires hors délai de la déclaration du Président de la CEI donné dans un hôtel sous contrainte. Il est bon de rappeler qu’en droit on ne peut certifier que ce qui est définitif et non ce qui est provisoire.

Le fonctionnaire des Nations Unies en Côte d’ivoire se met ainsi au-dessus du Conseil Constitutionnel ivoirien et agit ainsi en violation de la Charte N°2 des Nations unies qui stipule que chaque pays est souverain. L’ONU n’est autorisée à s’ingérer ou s’immiscer dans les affaires intérieures des Etats. La gestion et la proclamation des résultats d’une élection font partie de la souveraineté des Etats. L’ONU est en Côte d’Ivoire pour accompagner le processus et certifier l’organisation des élections et non proclamer les résultats.

La légitimité de la réélection du président Laurent GBAGBO

Fondements juridiques

Le processus électoral est administrativement mené par la Commission Electorale Indépendante (CEI) puis validé et légitimé par le Conseil Constitutionnel. La Commission Electorale Indépendante(CEI) est l’organe administratif national chargé de l’organisation des élections en Côte-d’Ivoire. Composée de commissaires issus des principales forces politiques nationales et de la rébellion armée contrôlant le Nord du pays, la CEI, avant la proclamation provisoire par son président, en ses locaux et en présence de tous les commissaires, centralise, consolide et valide sur une base consensuelle, les résultats provenant des différentes régions du pays. Lesquels résultats sont ensuite transmis au Conseil Constitutionnel pour validation. Si au bout de ces trois jours, la CEI, pour diverses raisons n’a pas pu proclamer les résultats provisoires, elle les transmet au Conseil Constitutionnel pour juger en dernier ressort et faire une proclamation définitive des résultats. Le conseil constitutionnel a 7 jours pour proclamer les résultats définitifs.

Le Conseil constitutionnel, sur la base des différents éléments versés au dossier de recours en annulation par la LMP, a invalidé les résultats de certaines régions du Nord (Korhogo, Katiola, Dabakala, Bouaké, Séguéla) sous contrôle de la rébellion où les cas de fraudes majeurs étaient avérés. Lesquelles fraudes ont été confirmées par la mission d’observation de l’Union Africaine et plusieurs organisations de la société civile africaine qui, durant le scrutin, ont été témoins dans plusieurs centaines de bureaux de vote, dans le Nord, de bourrages d’urnes, intimidations, d’agressions et d’enlèvements des représentants de la LMP dans des bureaux de vote, etc.

Des missions d’observation comme l’Union Européenne, lors du 2ème tour, ont pu mener  leur travail d’observation que principalement dans le Sud à Abidjan. Sur près de 19854 Bureaux de Vote sur l’étendu du territoire national, les observateurs de l’UE ont visité 90 bureaux, avec une quasi absence dans le Nord du pays où, des fraudes massives ont été constatées.  La mission de l’UE conclue cependant que l’élection s’est bien déroulée dans l’ensemble avec quelques irrégularités dans le nord.

A la proclamation des résultats définitifs par le Conseil Constitutionnel, il y a eu une liesse populaire dans la capitale économique, Abidjan et dans plusieurs grandes villes de l’intérieur du pays. Cela montre que le président GBAGBO jouit d’une légitimé populaire avec un électorat qui dépasse les clivages ethnico-religieux.

L’armée ivoirienne dans toutes ses composantes, a apporté son soutien au président Laurent GBAGBO. Les responsables des différents corps ont manifesté leur présence lors de son investiture au Palais présidentiel et continuent de lancer un appel pour la défense des institutions républicaines.

La souveraineté est une valeur chère à tout peuple notamment au peuple de Côte d’Ivoire. Tous les peuples du monde à l’instar des peuples américains et français, ont droit au respect de leur souveraineté qui est à défendre à tous prix. Depuis, l’arrivée du président Laurent GBAGBO au pouvoir, les actes visant à affirmer la souveraineté de la Côte-d’Ivoire ont été posés et continue sa lutte pour assurer au pays son affranchissement complet des entrailles liberticides du néo-colonialisme dans lequel l’ancienne puissance coloniale continue de maintenir les Etats africains en ce 21ème siècle.

Les erreurs d’appréciation de la Communauté Internationale sur la crise postélectorale ivoirienne

La proclamation des résultats par M. BAKAYOKO  semble avoir été faite sous la pression. La veille de cette déclaration, M. Bakayoko indiquait sur les antennes de la radio télévision ivoirienne que la CEI avait en son sein, des difficultés évidentes de consolidation des résultats, mais recommandait aux ivoiriens, la patience et que tout se ferait dans la légalité. Il a indiqué qu’il transmettait le dossier au Conseil constitutionnel. Le lendemain, à la stupéfaction des ivoiriens, M. Bakayoko proclame des chiffres donnant M. OUATTARA gagnant à l’Hôtel du Golf, en présence de quelques journalistes surpris de cette annonce sans qu’ils puissent poser une quelconque question. Cette proclamation est nulle d’effet et non avenue car, M. BAKAYOKO, l’a fait sans la présence de tous les commissaires de la CEI et hors délai.

Les erreurs d’appréciation de M. Choi, l’ont conduit à outre passer ses prérogatives. Sa mission en Côte-d’Ivoire n’est pas de proclamer et valider les résultats de l’élection présidentielle mais de certifier le processus et l’organisation des élections après la proclamation du Conseil Constitutionnel.  Dans le processus électoral, la tâche de M. Choi est de certifier les résultats définitifs et non provisoires comme ceux de la CEI. La position de M. Choi a discrédité les Nations Unies dans le processus de paix en Côte-d’Ivoire. La charte des Nations Unies prévoit l’égalité de tous ses Etats membres et le respect des institutions de chacun d’eux. L’Organisation des Nations Unies ne peut en aucune manière, remettre en cause les institutions d’un Etat membre aux risques de s’immiscer dans les affaires intérieures de la Côte-d’Ivoire.

La presse internationale et l’ex-puissance coloniale se sont résolument inscrites dans une campagne médiatique de dénigrement des autorités et des institutions ivoiriennes légitimes.  Le président de la république française, a d’ailleurs salué « son ami » Alassane OUATTARA, comme président de la Côte d’ivoire.  Dans cette stratégie, M. Sarkozy entend entrainer les autres puissances comme les Etats Unis dans la reconnaissance de Ouattara comme président à défaut d’un isolement international du président Laurent GBAGBO.
La France en soutenant Ouattara à desobéir à la juridiction ivoirienne veut établir le plan  diabolique que elle et la communauté inbternationnale ont mis en place qui le nouvel ordre mondial.

Ouattara Alassane hors des lois et de la république ivoirienne

M. Alassane OUATTARA est depuis 1993 dans une logique de conquête du pouvoir d’Etat par tous les moyens y compris par la force. Il a exploité en sa faveur, la théorie de la division ethnico-religieuse inventée par son allié d’aujourd’hui, Henri Konan BEDIE. En 1999, lors d’une conférence prononcée devant ses partisans à Paris, M. OUATTARA soutenait mordicus que le refus des autorités ivoiriennes d’alors de n’accepter sa candidature pour l’élection présidentielle en Côte-d’Ivoire se justifiait par son origine nordique et son appartenance religieuse à l’islam.

M. OUATTARA a soutenu le Coup d’Etat de 1999 opéré par la Junte militaire contre son allié actuel, Konan BEDIE. En 2002, de par ses déclarations, a démontré sa collusion avec les mouvements rebelles occupant le Nord du pays. Certains des ténors de cette rébellion ont affirmé publiquement avoir bénéficié de son soutien financier tous les mois de plus de FCFA 25 Millions.
Après une intense campagne d’intoxication et une guerre de communication vis-à-vis du peuple et des institutions ivoiriennes, M. Ouattara a lui-même, avant la CEI proclamé des résultats le donnant vainqueur sur des sites internet que ses proches ont crées. (Cf.  http://www.votci.net/; http://www.presidentielle2010.co.nr/ ; http://www.lesgrandesoreilles.com/ et autres).

Le taux de participation donné par la CEI et l’ensemble des institutions et observateurs est autour de 70%. Les résultats proclamé sous la contrainte par M. Bakayoko après calcul, donne un taux de participation autour de 85% ce qui semble anormal. Dans le nord du pays, le taux de participation est de plus de 95% et les résultats de M. Ouattara à 99% voire 100% qui n’a remporté que 7 régions sur 19.

M. OUATTARA s’est fait investi comme le nouveau chef de l’Etat dans un hôtel d’Abidjan et a monté un gouvernement en violation des lois de la Côte d’Ivoire. C’est une imposture de plus qui confirme la logique de déstabilisation de la Côte-d’Ivoire dans laquelle, il s’est engagé. Si l’on y prend garde, de par sa faute, il installera le désordre et le chaos dans ce pays pourtant phare en Afrique de l’ouest. Il a même monté un gouvernement fictif avec quelques membres de l’opposition.

L’élection présidentielle a confirmé la partition sociologique de la Côte-d’Ivoire. Son discours divisionniste prononcé à Paris en 1999 de « on m’empêche d’être candidat en Côte-d’Ivoire parce que je suis du Nord et musulman » illustre bien son électorat qui reste confiné dans le Nord et chez les musulmans. Il y’a une méfiance qui commence à s’installer entre les populations ivoiriennes, qui par le passé, vivaient en bonne intelligence et où la laïcité de l’Etat était une réalité.  

Nécessité d’aider la Côte-d’Ivoire pour sortir de la crise postélectorale

La Côte-d’Ivoire est le principal pays économiquement viable en Afrique de l’ouest francophone. Il représente 40% du PIB et de la masse monétaire de la sous-région. La décadence politique et économique de ce pays plongera l’ensemble de la sous-région ouest africaine dans une turbulence indescriptible. Elle va exacerber les tensions, sociales, religieuses, ethniques et économiques dans la sous-région. Les vagues d’immigration des populations de cette région vers les pays développés de l’Occident vont davantage s’amplifier. Comme, la Somalie, le Chaos en Côte-d’Ivoire, entraînerait l’émergence d’un sanctuaire du terrorisme en Afrique subsaharienne.

La Côte d’Ivoire est un pays qui regorge d’énormes ressources énergétiques et minières. L’appui au renforcement de la démocratie et des institutions républicaines est un critère essentiel pour sortir du sous-développement. Le président Laurent GBAGBO, depuis l’opposition jusqu’à son accession au pouvoir en 2000, a significativement contribué au renforcement de l’Etat de droit, des libertés individuelles et de la démocratie en Côte-d’Ivoire. Mais, cet élan doit être soutenu par tous les  états de droit par excellence, pour poursuivre cette dynamique de démocratisation et de développement complète du pays. 

La Côte-d’Ivoire est devenue un pays où la religion s’est invitée dans la politique. Dans les lieux de cultes, les prises de positions des leaders religieux dans le fait politique sont devenues plus marquées. Les discours se radicalisent de part et d’autre. Or,  Al Qaida au Maghreb est aux portes du Mali. Il y a un risque de récupération par cette organisation terroriste si cette crise postélectorale perdure en lançant un appel à soutenir les musulmans de Côte-d’Ivoire dans cette crise.
Africains, africaine,toute personne éprit de democratie et de liberté, la Côte d'ivoire a besoin de nous afin que nous fassions tous barrage au nouvel ordre mondial et à la nouvelle forme d'imperialisme que l'occident veux nous imposer; soyons solidaires à la Côte d'ivoire afin que cela ne se repète plus jamais en Afrique.

mercredi 8 décembre 2010

Que veut la France en Côte d'ivoire?

                                Ces images proviennent de Bouaké, fief de la rebellions armée acquise à Alassane Ouattara.

je voudrais savoir l'objectif que vous visez en diffusant de telles images dans le monde entier.
surtout que ce pays est régis par des lois, pour une fois que la France n'a pas établit le president de son choix, il refuse de lâcher prise, et c'est bien parce que dans certains pays d'Afrique il n'y a jamais eut d'élections mais des nominations. j'en appelle au bon sens des africains ce combat n'est seulement celui de la CI ni de Gbagbo, mais c'est pour la liberté de l'afrique.
Je demande à mes frères ivoiriens(RDR) de prendre leur mal en patience, c'est seulement pour 5 ans, car déjà le Conseil constitutionnel s'est prononcé en faveur de l'un des 2, unissons nous tous derrière ce dernier, afin de faire échouer Sarkozy et ses plans machiavéliques, car ouvrons nos yeux et soyons réalistes, ce gouvernement de Soro n'ira nulle part, et les ivoiriens verrons la difference à la fin du mois au moment de prendre leur salaire.
Ivoiriens, aimons notre patrie, à mes frères et soeurs qui sont hors du pays , méfiez vous de france 24, tv5, africa24 et autres, qui chaque jour par des titres, des images, présentent votre nation comme en train d'être rayée de la carte du monde, Dieu veille, et nous sommes vivts, je vous demande simplement de vous mobiliser autour du président Laurent Gbagbo pour ces 5années avenir. évitons que les autres nous utilisent pour détruire notre pays, déjà Choï mon patron n'a plus de sommeil, après lui se sera Sarkozy puis Obama. car la Côte d'Ivoire n'est pas votre Irak, la chute de la France est certaine cette fois-ci et vous le verrez. "si vous n'avez jamais vu Dieu, venez en Côte d'Ivoire"
par pudeur que la France reconnaisse au moins que la Côte d'ivoire est un pays souverain et qu'elle des intitutions et des lois qu'ils faut respecter !!!

A quand la fin de l'impérialisme en Afrique?

La France, les USA, L'ONU et bien d'autres force impérialistes mondiales veulent imposer en Côte d'Ivoire un président acquis à leur cause afin de piller les ressources diverses et variées de cet autre pays souverain de l'Afrique.
Pourquoi nous Africains ne nous dessolidarisons par un jour des decisions prise par des forces impérialistes que sont la France, la Grande Bretagne, les Etats unis d'Amerique et bien d'autre... Or Sarkozy qui manipule la communauté internationale avec la puissance des reseaux médiatiques français sur la réalité ivoirienne se prend pour un donneur de léçons alors que lui "Sarko" n'arrive pas à resoudre le probleme pour lesquels les français l'ont élu de façon minoritaire.
Ici en Côte d'Ivoire le problème qui se pose n'est pas un problème d'élection mais un problème d'intérêt. Car après les élections présidentielle du 2e tour la CEI (Commission Nationale Electorale) avait un delas de trois (03) jours pour proclamer les résultats provisoires de l'élection presidentielle, chose qui est mentionné dans la constitution ivoirienne ne l'a pas fait.Donc il revient au conseil constitutionel de proclamer les resultats definitif. Comme coup du hasard, le président de la CEI est inviter dans hotel de la place par le 1er ministre Soro Kibafori Guillaume ex chef de la rebellion armée en  complicité avec l'ambassadeur de France en Côte d'Ivoire qui était sur les lieu quelques minutes auparavant sous prétexte qu'ils voulaient s'entretenir avec ce dernier sur l'état de la situation à la CEI. signalons aussi que l'hotel ou se sont proclamés les soit disant resultats de la CEI est le lieu où Soro Guillaume et ses hommes au gouvernement de Gbagbo ont élu domicile depuis le processus de paix engagé, aussi ce même hotel est le lieu choisi par Ouattara pour établir son QG de campagne électorale.
Mr Bakayoko président de la CEI est issu du Rhdp avec 4 de ses vice présidents sur 5 et 25 autres commissaires centraux sur 31 que compte la CEI.
comment voulons nous dire que la CEI est un organe crédible pour une élection sencée sortir la Côte d'ivoire d'une crise qui dure maintenant 8 ans? une chose est sur et vérifier que cette instance électorale ne pouvais pas assurer des élections equitables en Côte d'ivoire. La rebellion qui depuis septembre 2002 occupe le nord et une partie du centre et de l'Ouest a peser de tous les moyens pour intaller un climat de terreur dans les zones à sa possession où le vote était juger crucial l'un des deux candidats à l'élection Présidentielle; ce qui n'a pas permi le bon deroulement du scrutin dans ces zone là! au vu de cela le camp acqui à la cause de Gbagbo Laurent a contester l'ensemble des zone sous controle de la rebellion. chose qui a provoqué un blocage des resultats de la CEI.
 Ainsi donc le conseil constitutionel se saisit du dossier et des requettes poser  par le camp Gbagbo pour trancher et invalider certaine localités au nombre de 09 dans la zone sous controle de la rebellion et proclame les résultats définitifs de l'élection présidentielle ce qui va entrainer la Côte d'ivoire dans blocage du processus électoral.
Chèr(e)s africain(e)s voyez-vous que la France et son puissant reseau Faucard n'ont pas encore oublier des ancienne pratiques coloniales et impérialistes. Pour cela nous devons réagit contre les manoeuvres de la France en Côte d'ivoire et soutenir celui dont la plus haute juridiction du pays a proclamé comme président de la république de Côte d'ivoire car cela y va de la dignité et le respect des intitutions republicaines de l'Afrique. Cessons de suivre les Odres donnés par Paris et autres occidentaux dans nos différents organismes régionnaux et sous-régionaux !